Notre histoire

GESTATION

1977 : Cedrat Recherche, filiale de CEDRAT, est créée pour commercialiser les logiciels de CAO en électrotechnique (FLUX) issus de Grenoble INP.

1989 : Dans Cedrat Recherche, Frank Claeyssen (actuel PDG) crée, à son arrivée, une activité de R&D sous contrat exploitant la CAO et constituant l’embryon de CTEC.

1995 : Cedrat Recherche est labélisée Société de Recherche sous Contrat (SRC) par BPI et débute des activités spatiales avec le CNES ;
Ces activités conduisent à l’invention brevetée de l’Actionneur Piézoélectrique Amplifié APA®.

1998 : Cedrat Recherche livre à l’ESA son 1ier modèle de vol, un mécanisme piézo XYZ à base d’APA® pour la mission ROSETTA.

pharao batch

NAISSANCE

2001 : Cedrat Recherche change de nom et devient CEDRAT TECHNOLOGIES S.A. (CTEC) ;
Les activités de vente de logiciels de CAO sont transférées à CEDRAT, pour ne laisser dans CTEC que les activités technologiques.
CTEC débute la vente des APA® en produits standards ;
CTEC emploie 17 salariés et fait un CA d’1.5M€.

2002 : CTEC développe pour la mission PHARAO du CNES, son 1ier mécanisme piézo de pointage optique, le DTT35XS.

2006 : CTEC livre sa 1e série de mécanismes piézo XY à THALES pour des caméras IR.

AUTONOMISATION 

2012 : Frank Claeyssen rachète CTEC via ASF, la holding, et devient le DG de CTEC ;
CTEC emploie 24 salariés et fait un CA de 3M€ dont 30% en vente de produits.

2013 : CTEC quitte les locaux de CEDRAT et s’installe au 59 Ch. du Vieux Chêne, Meylan, pour doubler la surface. CTEC dépose ses valeurs 3C®.

2020 : CTEC passe le seuil des 50 salariés et étend ses locaux en y incluant le 55 Ch. du Vieux Chêne, Meylan

panorama exterieur
salle blanche

 INDUSTRIALISATION

2022 : CTEC triple sa surface de salle blanche : l’objectif de cette extension est de couvrir les besoins accrus en produits mécatroniques propres dans les domaines de l’espace et de l’optronique
CTEC emploie 66 salariés et fait un CA de 8.5M€ dont 50% en vente de produits.

2023: CTEC continue son extension en augmentant de plus de 40% ses surfaces d’assemblage/intégration/tests afin de décupler ses
capacités de production en mécanismes et électroniques et répondre aux enjeux industriels futurs.